Accordéon Jazz
Titre(s) Accordéon Jazz [Enregistrement sonore] : Paris - Chicago - New York - Bruxelles- Buenos Aires, 1911-1944 / Compilation.
Editeur(s) Frémeaux & Associés, 1995.
Contient Porter 39. - American Rag. - Quartier Chinois. - Swinging The Quick Rythm. - Angry. - Stuff & Things. - So Tired. - Accordian Joe. - Kitty From Kansas City. - Barrel House Stomp. - Moten Blues. - Blues De Basil. - Boogie Woogie. - Coquette. - When You're Smiling. - Caf Au Lait. - Bois De La Cambre. - Flots Bleus. - In The Mood. - Swing Guitars. - Honeysuckle Rose. - Choo-Choo. - Wabash Blues. - Magic Violin. - Simplicit. - Rythm Fever. - Plinke Plonke. - Squeezin' The Blues. - SRNade. - Eres La Mas Guapa.
Résumé Didier Roussin rassemble ici une documentation introuvable sur la genèse de l’accordéon jazz. On avait déjà sous la main le "Swing accordéon 1926-1942" de la collection Jazz Time consacré à l’accordéon swing français, mais qui ne nous faisait pas entendre Tony Murena. Cette fois-ci Murena, CharlesVerstraete et Roger Etlens ont rejoint Gus Viseur, Emile Carrara et Louis Richardet. Et l’on trouve en plus la plupart de ceux qui mirent du jazz dans leur soufflet, de Buenos Aires à Prague, de l’American Ragtime de Pietro Frosini (1911) au Stomp d’Emil Mangelsdorff (oui, le frère d’Albert, laissant la clarinette pour l’accordéon dans un studio clandestin de l’Allemagne nazie en 1941 !). On croise évidement l’accordéoniste de Duke Ellington (Joe Smelzer), celui de Bennie Moten (son frère Buster Ira). Charlie Magnante, véritable parrain de l’accordéon jazz américain, l’archaïque blues cajun d’Amédée Ardoin, George Shearing âgé de vingt ans sur son premier instrument. La surprise de ce travail vient surtout de la foultitude de talents redécouverts à travers l’Europe (où se glissent entre autres le contrebassiste Aladar Pege et le guitariste René Thomas alors tout jeunes). Pour ne parler que des accordéonistes, ce sont Pal Herrer (Hongrie) et Alfred Siegrist qui emportent nos suffrages, sans oublier la cerise sur le gâteau : Dider Roussin n’a pas pu s’empêcher de nous faire connaître un enregistrement tardif (1960) dont il avait la libre disposition, la fougueuse Alice Hall brûlante de désir sur un "What Is This Things Called Love" à vous coller au plafond. » Franck BERGEROT – Jazzman.
Editeur(s) Frémeaux & Associés, 1995.
Contient Porter 39. - American Rag. - Quartier Chinois. - Swinging The Quick Rythm. - Angry. - Stuff & Things. - So Tired. - Accordian Joe. - Kitty From Kansas City. - Barrel House Stomp. - Moten Blues. - Blues De Basil. - Boogie Woogie. - Coquette. - When You're Smiling. - Caf Au Lait. - Bois De La Cambre. - Flots Bleus. - In The Mood. - Swing Guitars. - Honeysuckle Rose. - Choo-Choo. - Wabash Blues. - Magic Violin. - Simplicit. - Rythm Fever. - Plinke Plonke. - Squeezin' The Blues. - SRNade. - Eres La Mas Guapa.
Résumé Didier Roussin rassemble ici une documentation introuvable sur la genèse de l’accordéon jazz. On avait déjà sous la main le "Swing accordéon 1926-1942" de la collection Jazz Time consacré à l’accordéon swing français, mais qui ne nous faisait pas entendre Tony Murena. Cette fois-ci Murena, CharlesVerstraete et Roger Etlens ont rejoint Gus Viseur, Emile Carrara et Louis Richardet. Et l’on trouve en plus la plupart de ceux qui mirent du jazz dans leur soufflet, de Buenos Aires à Prague, de l’American Ragtime de Pietro Frosini (1911) au Stomp d’Emil Mangelsdorff (oui, le frère d’Albert, laissant la clarinette pour l’accordéon dans un studio clandestin de l’Allemagne nazie en 1941 !). On croise évidement l’accordéoniste de Duke Ellington (Joe Smelzer), celui de Bennie Moten (son frère Buster Ira). Charlie Magnante, véritable parrain de l’accordéon jazz américain, l’archaïque blues cajun d’Amédée Ardoin, George Shearing âgé de vingt ans sur son premier instrument. La surprise de ce travail vient surtout de la foultitude de talents redécouverts à travers l’Europe (où se glissent entre autres le contrebassiste Aladar Pege et le guitariste René Thomas alors tout jeunes). Pour ne parler que des accordéonistes, ce sont Pal Herrer (Hongrie) et Alfred Siegrist qui emportent nos suffrages, sans oublier la cerise sur le gâteau : Dider Roussin n’a pas pu s’empêcher de nous faire connaître un enregistrement tardif (1960) dont il avait la libre disposition, la fougueuse Alice Hall brûlante de désir sur un "What Is This Things Called Love" à vous coller au plafond. » Franck BERGEROT – Jazzman.
Exemplaires
Titre | Réserver | Code barre | Cote | Bibliothèque | Section | Localisation | Situation | Droit consult. | Date retour |
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Accordéon Jazz | 31120003816815 | 1.30 ACC | Voyelles | Image et son | Plateau 2 - Image, son et numérique | En rayon | |||
Accordéon Jazz | 432026 | 1.10 ACC | Signy L'Abbaye | Image et son | Doc. sonore adulte | En rayon |